Chasteté permanente et à vie

Catégories : Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 6 ans

Ce soir est un autre anniversaire de ma non-jouissance. C’est le sixième anniversaire de la dernière fois que j’ai eu un orgasme. Comme toujours, Jessica a prévu quelque chose pour marquer l’évènement. « Ce soir sera vraiment une soirée spéciale ! Après

ce soir, tu auras vraiment quelque chose à célébrer ! »

Comme toujours, je ne sais pas vraiment comment prendre cette annonce, comme un présage bon ou mauvais, je ne peux être sûr de rien. Même si elle m’a dit que je ne jouirai plus jamais, il y a toujours la possibilité qu’elle change d’avis. Je me dis toujours que peut-être que ce sera ce soir. Après tout, elle a l’habitude d’enlever ma cage de chasteté lors de ces nuits d’anniversaire, peut-être qu’elle le fera pour de bon ce soir.

Il est dix heures du soir. Jessica vient d’arriver.Elle a retiré tous ses vêtements et est allongée sur le lit, arborant juste son rouge à lèvres foncé et un sourire malicieux.

« Heureux anniversaire, chéri ! Il y a maintenant six années complètes depuis la dernière fois que je t’ai laissé jouir ! C’est une performance, tu dois être très fier ! »

Jessica me regarde avec un sourire ironique. Elle me fait signe de venir près d’elle sur le lit. Je suis nu, avec seulement ma cage. Je m’allonge près de Jessica.

« Tu as fait ça si bien, je n’aurais jamais pensé que tu puisses le faire ainsi. Je pensais que tu te rebellerais depuis longtemps et que tu insisterais pour jouir ! Mais tu ne l’as pas fait, hein ? Non, tu as été une bonne petite mauviette et tu as fait exactement ce que je t’ai dit de faire. »

Jessica m’embrasse tendrement le visage. « Regarde tout le bien qui en provient. Voyons cela. Tu n’as pas eu de relations sexuelles avec moi depuis six ans, pendant que j’ai eu des douzaines d’amants. Tu n’as pas eu un seul orgasme en six ans et ta queue est enfermée dans une cage de chasteté vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours par semaine, et c’est moi qui en détiens l’unique clé. Tu es en permanence dans un état douloureux de frustration sexuelle, tes couilles sont toujours bleues et tu es sans arrêt humilié par ton épouse magnifique, sexy et guidée par son plaisir. On dirait que tu as fait ce qu’il faut de ton côté ! »

Jessica se met à me lécher le visage avec sa langue.

« Ce soir, nous célébrons une année de plus de ta frustration continuelle. Une année supplémentaire de ma domination de salope sur toi. Une année de plus de victoire de ma chatte sur ta queue et tes couilles. Pauvre petite mauviette ! Qui ne peut jamais faire ce qu’il veut ! Pauvre bébé! Mais ce soir va être une soirée très spéciale pour toi. Ce soir, il va y avoir du changement qui va m’apporter encore plus! Es-tu excité ? »

J’opine de la tête.

« Tu peux l’être. Après cette soirée, ta vie sera différente, tu vas voir. »

"Hmm. Peut-être que cette soirée me sera bénéfique, après tout. Voilà une bonne nouvelle ! Peut-être est-ce cette nuit que je vais pouvoir jouir après ces six longues années. Je vais bientôt le découvrir."

Jessica prend la clé et la tient devant moi pour que je la vois bien. Elle dit en riant :

« Après cette nuit, nous n’aurons plus besoin de cette clé ! C’est une bonne nouvelle ! »

Est-ce possible ! Est-il possible qu’elle me libère cette nuit ? Mon Dieu, je l’espère ! Cela veut sûrement dire ça ! Que pourrait-elle signifier d’autre? J’essaie de refréner mon excitation. Je ne voudrais pas contrarier Jessica. Je garde mon excitation pour moi. Jessica déverrouille la cage et l’enlève. Ma bite se dresse instantanément. La main de Jessica se saisit de mon membre et commence à le caresser un peu. C’est époustouflant,après avoir passé une année complète enfermé. Au bout de quelques instants, Jessica m’attire sur elle.

« Maintenant, je te permets de frotter ta bite contre ma chatte. »

Jessica dit cela avec le ton le plus arrogant qu’elle puisse produire. Je m’y mets immédiatement. Sa chatte est toute chaude et humide. Je commence à mefrotter contre elle et je sens des vagues de plaisir qui passent sur moi en cascade. J’entre dans une zone de focalisation hypnotique. Avoir ma queue enfermée dans une cage de chasteté depuis six ans, et être autorisé à en sortir seulement quelques heures par an rend la sensation du contact du sexe de ma femme incroyablement excitante. Je continue de me frotter contre sa chatte. Je la sens qui s’humidifie de plus en plus. Je poursuis et Jessica me lèche le visage, ce qui m’excite encore plus. La pointe de sa langue darde de manière sensuelle sur toute ma figure. Puis ellese met à me lécher le visage comme s’il s’agissait d’un cornet de glace. Elle pousse un peu son bassin en avant, ce qui expose une plus grande surface de son sexe à ma queue. Je sens que les lèvres de son sexe commencent à s’écarter alors que je continue à pousser.

« Ça te plaît ?

  • Oh oui, plus que je ne saurais le décrire !

  • C’est bien. »

Jessica se lève, va à la cuisine et en revient avec le paquet de glaçons qu’elle utilise pour me calmer lorsque je commence à être trop excité. Elle rentre dans le lit et pose le sac de glace sur sa chatte de telle manière que ma bite y est comme soudainement enchâssée, ce qui a pour effet immédiat de la faire dégonfler. Au bout de quelques instants, ma queue est ramenée à une toute petite taille. Quand Jessica voit cela, elle retire la glace et je recommence à lui frotter la chatte.

Cela dure environ une heure, et à chaque fois que je m’approche de l’instant de l’éjaculation, Jessica m’interrompt avec la glace en me faisant redevenir tout petit. Je suis de nouveau dur et en train de me frotter une fois de plus sur al chatte de Jessica lorsqu’elle me demande :

« Dans quel état de frustration es-tu ?

  • Je suis complètement frustré. Il y a six ans que je n’ai pas joui et tu me fais me frotter contre ton sexe depuis une heure. Je commence à ressentir la brûlure. C’est comme si mes couilles allaient exploser ! Cette sensation de brûlure intense traverse ma bite et mes couilles. C’est tellement douloureux que je voudrais presque arrêter. Je ne sais plus ce que je veux, j’ai tellement mal !

  • Oh, pauvre bébé désorienté. On ne peut pas te laisser souffrir ainsi, hein ? Non, ce ne serait pas bien, après tout, c’est ta nuit, c’est ton anniversaire. Voyons si l’on peut s’occuper de cette douleur, d’accord ? »

Jessica se lève et va aux toilettes. Elle en revient avec une nouvelle paire de chaussures. Ce sont des sandales à hauts talons incroyablement sexy. Elles ont une très grosse semelle. Elles sont noires, très féminines et très sexy. Ses orteils pointent, les ongles vernis de rouge foncé.

« Mets-toi à quatre pattes et écarte les jambes. »

Jessica se place derrière moi.

« Est-ce que tes couilles te font mal du fait de la frustration ?

  • Oui, elles me font terriblement mal.

  • Bon, on ne peut pas laisser comme ça, hein ?

  • Eh bien, ce serait bien si... »

Je suis interrompu par un coup de pied féroce envoyé dans mes couilles par derrière. Le pied droit de Jessica cogne mes couilles puis ma queue. La douleur est insupportable pendant un moment. Je reste à quatre pattes sur mes mains et mes genoux.

« Est-ce que tes couilles ont encore mal du fait dela frustration ?

  • Non, elles ont mal parce qu’elles ont été frappées.

  • Bon. Tu disais que tu étais frustré et que tu n’aimais pas ça. Je n’aime pourtant pas trop soulager ta frustration. Je vais te frapper cinq fois. Ce coup-là n’était qu’un échauffement. Il y en a encore cinq à venir. Après que je t’aurai frappe, je vais m’étendre sur le lit et je vaux que tu t’allonges au-dessus de moi. Voilà le suivant. »

Le magnifique pied de Jessica se place en arrière puis vient frapper mes couilles. La douleur est épouvantable. Puis vient un autre coup, et un autre, et un autre, et encore un autre. La douleur me fait perdre la tête. J’ai la nausée et je suis patraque d’avoir eu mes couilles aussi cruellement frappées. Jessica retourne sur le lit et je la suis. Elle s’allonge et, comme ordonné, je m’allonge sur elle. Elle arbore un sourire diabolique.

Même si je souffre incroyablement, je peux dire que Jessica s’est mise à se doigter. Elle commence à se masturber. Elle se frotte avec ferveur de la main droite pendant que je suis affalé sur elle en me tortillant tellement j’ai mal. Elle ordonne :

« Embrasse mon visage. »

Je suis encore sous le choc de la douleur au niveau de l’aine mais je me mets à embrasser tendrement sa figure. Jessica affiche cet incroyable sourire.

« Te taper dans les couilles m’a rendue si chaude ! Quelle excitation ça m’a procurée ! C’est drôle, mais il y a longtemps que je m’imaginais en train de te taper dans les couilles. Mais maintenant que je l’ai réellement fait, je me rends compte de ce que j’ai raté ! J’adore ça ! Oh, comme je suis excitée ! »

Jessica continue de se caresser pendant que je l’embrasse. Elle gémit comme si elle s’approchait de l’orgasme. Mais, à ma grande surprise, elle s’arrête.

« Je ne veux pas jouir tout de suite. Il y a un certain nombre de choses que je veux faire auparavant. Je suis toujours un peu fatiguée après avoir joui, et je ne voudrais pas manquer l’expression que je vais voir sur ton visage dans quelques instants. Frotte-toi un peu sur ma chatte. »

Bien que je souffre encore beaucoup, je deviens très vite très dur à me frotter contre la superbe chatte de Jessica. Même sa chatte a un air de salope hautaine. Les lèvres gonflées et engorgées de sa chatte boudeuse en attente d’assouvissement. Après quelques minutes de ce traitement, Jessica se lève et prend des choses dans sa table de nuit. Elle place un objet sur le lit. On dirait deux tubes de plastique transparent avec un piston à un bout et une extrémité pointue à l’autre. Un des tubes est transparent et l’autre est légèrementcolorée en marron. Je me dis qu’il s’agit d’un distributeur de colle époxy.

« Tu te rappelles tout à l’heure, quand j’ai dit que nous n’aurions plus besoin de clef ?

  • Oui ?

  • Bon, que penses-tu que je voulais dire ?

  • eh bien, j’ai pensé que cela voulait dire que tu ne me ferais plus porter cette cage de chasteté.

  • Bien, c’est ce que je voulais que tu penses.

  • Qu’est-ce que tu veux dire ?

  • Eh bien, est-ce que tu penses vraiment que je vais te libérer de ta cage ?

  • Oui.

  • N’as-tu rien appris au cours des six dernières années ? Je te le demande. Est-ce que j’ai été de plus en plus gentille avec toi pendant ces six années ? Est-ce que j’ai été de plus en plus attentionnée, douce, amoureuse... ?

  • Euh, pas exactement.

  • Pas exactement ! Non, ma petite mauviette stupide de mari, je ne vais pas t’enlever ta cage de chasteté. En fait, c’est juste le contraire. Tu vois ces tubes de plastique, c’est de la colle époxy. Je suis allé au magasin de bricolage et je leur ai demandé de l’époxy insoluble, c'est-à-dire une colle qu’on ne peut pas décoller. On m’a dit que c’est laplus forte des colles époxy industrielles qui existe. On m’a dit qu’une fois en place, il est impossible de l’enlever. Sais-tu ce que je vais faire avec ?

  • Non.

- Eh bien je vais remplir le trou de la serrure de ta cage de chasteté avec la colle époxy. Ce que cela signifie, c’est que dans quelques instants, je vais verrouiller de manière permanente cette cage sur toi. Après que j’aurai remis ta cage sur toi, je vais mettre cette colle dans le trou de la serrure. Tu ne pourras plus jamais la retirer ! »

Je suis abasourdi. C’est la dernière chose à laquelle je pouvais m’attendre. Je me mets à pleurer. Jessica embrasse tendrement mon visage.

« Oh, pauvre bébé ! C’est seulement parce que tu prends trop de plaisir à te frotter une fois par an sur ma chatte, comme ça. Mais ta bite pathétique est si petite ! Il est faux de prétendre qu’elle est autorisée à entrer dans ma chatte, même une heure une fois par an. Je suis sûre que tu sais comme j’ai raison. Tu sais que je suis raisonnable.Maintenant, c’est à ton tour d’être raisonnable. Il n’est pas juste qu’une aussi pathétique petite biteait accès, même une seule fois par an, à une chatte aussi magnifique et aussi parfaite que la mienne ! Non, ce qui te tient lieu d’alibi pathétique en fait de queue doit être enfermé. Et tu dois êtrepuni pour te faire autant de mouron autour de ta virilité ! Ce que je vais faire, mon chéri, n’est donc que justice, compte tenu des circonstances. »

Jessica lèche mes larmes. Elle continue, de telle manière que ma figure est bientôt recouverte par sa salive.

« A côté de ça, c’est un plaisir d’augmenter ta frustration. Je veux dire que j’ai d’abord commencé par te faire porter cette cage de chasteté, puis jet’ai interdit de jouir, puis de me baiser, enfin, je t’interdis définitivement de retirer la cage ! C’est trop délicieux, tu ne crois pas ? Ce n’est en fait qu’une progression naturelle. Plus notre mariage dure depuis longtemps et plus je veux te frustrer et me refuser à toi. Il est donc naturel que plus le temps passe, plus je vais exiger de toi. C’est une preuve de mon amour pour toi ! Dis-toi juste que mon côté salope est ma manière de t’aimer et tu te sentiras mieux ! Chaque fois que je te prive d’une récompense et du plaisir de mon corps, c’est une manière de te dire : "je t’aime, mon chéri!".»

Jessica se met à rire ironiquement.

« Ou bien tu peux accepter le fait que je ne suis qu’une femme incroyablement sexy qui aime être garce avec toi ! Ce n’est pas de l’amour que je montre à chaque nouvelle frustration ajoutée à ta vie, mais juste une autosatisfaction sadique ! Et ce n’est pas par amour pour toi que je te fais toutes ces horribles choses, mais c’est parce que je trouve que ta soumission pathétique à mes ordres est vaguement distrayante. Parce que chaque nouvelle cruauté que je réalise sur toi me fait ressentir une sorte de frisson de jeune fille. Parce que de te voir ne jamais résister à mes autosatisfactions cruelle de garde ne fait que me dégoûter de toi, à

satisfaire mais désirs en te dégradant et t’avilissant ! Parce que chaque jour qui passe avec

la frustration sexuelle que je te cause te fais devenir de moins e moins mon mari et de plus en plus un alibi pathétique d’homme, une mauviette, un jouet, un rien du tout qui mérite ce queje lui fais ! »

Jessica sourit avec in plaisir cruel à tous les propos qu’elle me tient.

« Comme c’est la dernière fois de ta vie que ta bite va se trouver libre hors de sa cage, je pense qu’il est juste de marquer ce moment spécial pour toi. Tu as déjà ressenti le contact de ma chatte contre ta queue pour la dernière fois. Donc, je pense que je vais t’octroyer une dernière gâterie buccale. »

Jessica s’agenouille et se met à embrasser ma bite. Savoir que je suis sur le point d’être enfermé rend encore plus intense chaque sensation. Jessica lèche lentement le dessous de ma queue. Elle embrasse et lèche toute la longueur du membre. Ses lèvres et sa langue descendent vers la base de ma queue. Elle embrasse doucement mes couilles.

« Pauvres petites couilles ! Si bleues, si frustrées ! Tes couilles n’avaient pas idée de ce qui les attendait lorsqu’elles m’ont rencontrée, n’est-ce pas ? Non, comment l’auraient-elles pu ! Pauvres petites couilles bleues ! »

Jessica continue de les embrasser pendant un moment. Puis elle accélère son mouvement de léchage de ma queue. Elle monte le long du membre jusqu’à son extrémité. Elle commence à me sucer le bout de la queue, puis introduit toute ma bite dans sa bouche. Elle la suce et la lèche à la fois. D’être ainsi excité me fait perdre l’esprit. Mes couilles sont au bord de l’explosion. Après quelques instants de ce traitement, Jessica s’arrête sans prévenir.

« C’est tout ce que tu auras ! Il vaudrait mieux que ça te dure toute la vie, il le faudra bien ! »

Jessica se lève et se dirige vers la table de nuit où elle entrepose de multiples choses. Elle revient vers moi. Elle apporte un préservatif et un tube d’onguent Ben-Gay extra-fort.

« Il nous faut faire rétrécir ta queue pour qu’elle rentre dans sa cage. Mais plutôt que le faire de la manière la plus facile que nous utilisons d’habitude, avec la glace, j’ai pensé que, puisque ce sont les derniers instants de liberté de ton pénis, il fallait en faire un moment mémorable ! D’ailleurs, je préfère que le souvenir que tu auras des derniers instants sans que ta queue soit enfermée dans sa cage, soit celui d’un moment particulièrement douloureux. Tu me connais : toujours salope ! »

Jessica ouvre l’enveloppe du préservatif et l’en sort. Elle le déroule puis ouvre le tube de crème Ben-Gay. Avec son sourire diabolique, elle met une large dose de crème dans le préservatif. Elle continue d’appuyer sur le tube jusqu’à ce qu’enviro n la moitié de son contenu soit dans le préservatif. Satisfaite de la quantité transférée,

Jessica rebouche le tube et le remet dans sa table de nuit.

« A présent, je veux que tu me pries de verser la colle époxy dans le trou de la serrure de ta cage de chasteté. Je veux que tu m’implores pour avoir le privilège d’être frustré pour toujours ! Vas-y, supplie-moi ! »

Jessica me dit cela avec un air compatissant.

« S’il te plaît Jessica, s’il te plaît, scelle le trou de la serrure de ma cage de chasteté de telle façon qu’on ne puisse plus jamais l’ouvrir !

  • Mais pourquoi, pourquoi devrais-je me donner cette peine ?

  • Parce que ma bite est trop pathétique pour avoir droit à une quelconque sensation de plaisir. Ma queue est trop petite pour être autorisée à s’approcher de ta magnifique et parfaite chatte ! S’il te plaît, Jessica, s’il te plaît, enferme-moi pour toujours de telle manière que je ne puisse plus jamais avoir de sensation de plaisir avec ma queue ! S’il te plaît, scelle-moi dans cette cage pour toujours,je t’en supplie, Jessica !

  • Oh, c’est bon, si c’est ce que tu veux vraiment !Tu es si pathétique à supplier d’être enfermé pourtoujours dans ta cage de chasteté ! D’accord, je commence le processus maintenant. »

Jessica se penche et pose un dernier baiser au bout de mon pénis complètement bandé.

« Pauvre petit pénis, qui ne sera plus jamais embrassé ni touché désormais ! Oh, bon ! »

Jessica installe le préservatif autour de ma queue.

Comme elle est plus petite que la moyenne, il lui est facile de l’introduire dans le préservatif plein de crème Ben-Gay. Jessica le tire jusqu’au bout pour être sûre qu’il va tenir en place. Avec un plaisir cruel, elle dit :

« Voilà, ça devrait être amusant ! »

Elle m’embrasse fort sur la bouche. Sa langue v i o l e presque la mienne tant elle est insistante. L’espace d’un instant, je ne sens rien d’autre que le préservatif. Mais après, au bout d’une dizaine de secondes, je commence à ressentir la brûlure. C’est comme si ma queue était plongée dans une flamme vive. La brûlure devient vite épouvantable. Je commence à gémir sous la douleur. Jessica, apparemment excitée par mon expression de douleur, continue de lécher l’intérieur de ma bouche avec sa langue. Au bout d’une autre dizaine de secondes, je succombe à la douleur et me tord sur le sol sous l’insupportable brûlure qui me dévore la queue. Dans un rire, Jessica me dit :

« Oh, pauvre bébé ! Ça doit faire mal ! »

Pendant une dizaine de minutes, je me tortille de douleur sur le sol. Jessica finit par se fatiguer de me regarder et me fait relever.

« Oh, regarde, il n’y a plus d’érection ! Il est temps que ton pénis commence sa vie

d’emprisonnement totalement confiné ! »

J’abaisse mon regard vers ma queue qui est indubitablement flasque. La crème Ben-Gay a fait son office. Jessica retire le préservatif de sadique et le jette. Puis elle se lève et se dirige vers l’applicateur de la colle. Elle en coupe l’extrémité avec un couteau. Elle appuie sur le tube et fait couler la colle dans une petite coupelle. Puis elle se saisit d’un petit agitateur en bois et commence à mélanger les composants de la colle.

« Là, ça devrait aller. Les instructions d’emploi conseillent d’appliquer le mélange dès qu’il est fait là où il doit être employé. Puis il faut attendre vingt-quatre heures pour que le collage soit définitif.Donc, pas de douche pour toi demain. Allez, on y va! »

Jessica extrait une bonne dose de colle et, à l’aide du bâtonnet, se met à garnir le trou de la serrure de ma cage de chasteté. Elle en remet plusieurs fois, de manière à le remplir complètement avec la colle époxy. Je remarque qu’elle met beaucoup d’application à remplir entièrement le trou de serrure. Ensuite, elle met la colle et la coupelle dans la poubelle de la cuisine. Puis elle revient vers moi en souriant. Elle s’approche de moi et m’embrasse intensément sur les lèvres. « Là, c’est fait ! Et je suis si excitée ! C’est l’heure de mon orgasme ! »

Entièrement sous l’effet hypnotique que me fait l’incroyable chiennerie de Jessica à mon encontre, je lui fais une curieuse demande, curieuse de mon point de vue, pas de celui de Jessica :

« Jessica, maintenant que tu m’as enfermé pour toujours dans cette cage de chasteté, est-ce ce que je peux émettre une requête avant que tu commences à te masturber devant moi ?

  • Laquelle ? Demande Jessica avec irritation.

  • Eh bien, je me demandais si ça t’ennuierait de me taper encore une fois dans les couilles, juste pour marquer ta victoire complète sur ma virilité.

  • Pourquoi ? Quelle idée merveilleuse ! Bien sûr, chéri, si c’est ce qui te fait plaisir. Bien sûr que je vais te donner plusieurs coups de pied dans les couilles ! N’importe quoi qui fasse plaisir à mon mari ! Mais ce n’est pas encore la victoire complète. »

Je me place à quatre pattes en tournant le dos à Jessica. Elle vient se placer derrière moi. Une fois en position, j’attends qu’elle me frappe. Elle patiente un moment, me laissant dans l’attente et sans défense. Mais tout à coup, venu de nulle part, le premier coup de pied vicieux vient me taper les couilles. Puis, quelques instants plus tard, le suivant ; puis un autre, encore un autre et finalement, le dernier coup. Jessica vient se placer devant moi, de telle manière que ses pieds parfaitement manucurés, aux ongles vernis de rouge, sertis dans des chaussures à semelles compensées de dix centimètres de haut, soient juste devant mon visage. J’embrasse le pied droit, celui avec lequel Jessica vient de me frapper. Je dépose un grand nombre de baisers révérencieux sur son pied délicat et splendide. Jessica se met à rire.

Jessica s’éloigne, va se placer sur le lit et m’enjoint de me placer sur elle. Elle commence à frotter son clitoris avec son index droit. Elle me pousse vers le bas pour que je la vois se masturber. Je me place de telle manière que ma tête repose sur sa cuisse. Elle continue de se caresser. Ses lèvres vaginales sont à présent luisantes, gonflées et engorgées.

« T’enfermer le sexe pour toujours m’a tellement excitée ! Je ne peux pas attendre pour

jouir ! Oooh, ça me rappelle que c’est ton sixième anniversaire sans jouissance ! Dans toute cette excitation, je l’avais oublié ! Ce soir était censét’être tout entier consacré et je l’ai transformé en une nuit à mon profit ! Oh, vraiment, je suis parfois si égoïste. »

Jessica accélère sa caresse et je vois bien qu’elle n’est plus éloignée de l’instant de sa jouissance.

Elle se met à soupirer, puis à pousser ces cris de petite fille annonciateurs du début de la jouissance. Jessica se met à jouir et émet un petit cri à la fois d’excitation, de joie et de contentement. Elle jouit pendant un temps très long, de l’ordre de la minute. Pendant qu’elle jouit, son corps se contracte un peu et ses orteils se courbent de la manière la plus féminine et la plus sexy qui soit. Puis elle devient toute molle un moment, les yeux fermés. Environ une minute plus tard, elle rouvre les yeux.

« C’était délicieux ! Quel orgasme puissant ! Ouaaah ! »

Jessica roule sur le ventre. Elle soulève son derrière, juste un petit peu. Elle se met à parler de la voix de petite fille qu’elle emploie souvent après avoir pris son plaisir.

« Pauvre petit mari ! Désormais, il ne sentira plusjamais le contact de la chatte de sa femme sur sa queue ! D’ailleurs, il ne sentira plus jamais sa queue sans sa cage de chasteté ! Est-ce que tu es en colère contre moi parce que j’ai rempli le trou de la serrure avec cette vilaine colle époxy ?

  • Non, je comprends.

  • Bon, alors, vas-y : remercie-moi en m’embrassant le cul. Embrasse mon joli trou du cul. Montre-moi comme tu apprécies tout ce que je fais pour toi ! »

Je me mets à embrasser tendrement son anus plissé. Je le couvre de baisers avant de le lécher gentiment.

« Bien ! Petit mari est siiiiiii compréhensif du besoin que sa garce de femme a d’être salope avec lui ! Petit mari est vraiment si gentil de laisser sa garce de femme lui faire ce qu’elle veut ! »

Ma vénération de l’anus de Jessica est d’autant plus passionnée compte tenu de ce qu’elle vient de me faire. Savoir qu’elle m’a enfermée pour toujours dans une cage de chasteté me remplit tout simplement d’une sorte d’adoration autodestructrice du cul de Jessica.

« En plus, maintenant, tu n’auras plus jamais à te soucier de quand tu pourras sentir le contact de la douce petite chatte de ta femme puisque ce ne sera plus jamais ! Je te rends la vie tellement plus simple ! Je suis si gentille avec toi, j’espère quetu apprécies toutes ces choses que je fais pour toi ! N’est-ce pas ?

  • Oui, je comprends bien.

  • Bien. Dis-moi à quel point tu aimes que je t’aie enfermée la queue pour toujours et qu’ensuite, je te fasse embrasser mon cul.

  • J’aime de ne plus jamais pouvoir enlever ma cage de chasteté, et de ne plus jamais pouvoir sentir le contact de ta chatte sur ma bite.

  • Tu n’es pas vraiment ennuyé que je t’ai verrouillé ainsi à jamais, dis-tu ?

  • SI ça te fait plaisir, ça ne m’ennuie pas.

  • Bien, parce que ça me rend siiiiiiiiiiii heureuse de te faire ça. Mon petit mari n’est pas en colère contre sa femme maintenant, hein ?

  • Non.

  • Parce que sa petite femme a besoin de traiter siiiiiiiiiii durement son mari! Elle a besoin d’être de plus en plus garde à mesure que les années passent ! ...J’ai sommeil à présent. C’est l’heure de dormir... »

Et Jessica se retourne. Elle place doucement sa main sur ma cage de chasteté.

« Adieu, petit pénis ! On ne te verra plus ! Oh, lepauvre petit pénis, enfermé à perpétuité. Oh bon. Pauvre petit mari ! Qu’est-ce que sa garce de femme va bien pouvoir inventer maintenant? »

Jessica se retourne et s’endort rapidement. Je reste éveillé en pensant à sa dernière phrase...

SM98

QUELQUES LIENS

ACHETER UNE CAGE DE CHASTETE EN FRANCE

UN FORUM pour parler de chasteté ou poser des questions

ICI il y a 430 histoires érotiques SANS PUB sur les cages et ceintures de chasteté

ICI il y a 6300 photos SANS PUB de dispositif de chasteté

ICI il y a 1100 vidéos SANS PUB sur les cages et ceintures de chasteté

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !

LIRE des histoires érotiques Hard

Jessica est une FEMME très attentionné pour le bonheur de son "chéri"
Ce récit est à la fois excitant et sujet de fantasme inquiétant. En effet, savoir que l'on n'est plus à la merci de sa Maîtresse pour une libération occasionnelle doit être décevant.
Publicité en cours de chargement